Deuxième figure

           La fleur croît autant qu'elle peut croître. Il l'a destinée à flétrir celui qui en favorise la croissance et lui a permis de verdoyer. Il en sera de même pour toi. Afin qu'on puisse te reconnaître la magie t'a orné de ses dons. Ainsi que tu as surgi, tu seras réduit à néant. Car bien avant que tu fusses, la

magie te connaissait, elle t'a comparé à une fleur, belle aujourd'hui mais demain desséchée. Tu te serais maintenu par la sagesse et la crainte de Dieu, mais tu n'as su le voir et ta propre sagesse a engendré ta perte.

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